Travailler dur n’a jamais tué personne : réduire la mortalité chez les pintades pour réussir et améliorer les revenus

| février 15, 2016

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L’article de cette semaine qui nous provient du Burkina Faso dresse le profil d’une enseignante à la retraite qui élève des poules.

Notre Texte radiophonique de la semaine est un feuilleton composé de quatre parties qui parle d’un autre volatile qu’on retrouve dans plusieurs concessions africaines, surtout en Afrique de l’Ouest. Il s’agit de la pintade.

Au nord du Ghana, neuf ménages sur dix élèvent des pintades. Ces volatiles permettent aux familles d’assurer leur sécurité alimentaire. Dans les villages et en banlieue, les familles élèvent généralement cinq pintades femelles et un mâle.

Les pintades sont fécondes et leur viande est nourrissante, car elle contient plus de protéines et moins de graisse que la viande de poulet. De plus, celle-ci a une faible teneur en cholestérol. La coquille des œufs de pintades est plus épaisse que celle des poules, elle résiste mieux aux chocs, et les œufs peuvent se conserver plus longtemps, en plus de pouvoir être transportés en toute sécurité sur de longues distances.

L’élevage des pintades peut être une activité rentable, mais les éleveuses et les éleveurs doivent être outillés pour pouvoir relever un certain nombre de défis. Notre texte radiophonique de la semaine met l’accent sur les problèmes et les solutions à la mortalité des poussins (petits de la pintade), qui constitue un des obstacles majeurs à l’élevage des pintades. Ce texte s’inspire d’entretiens réalisés avec des agricultrices et des agriculteurs qui élèvent des pintades dans la région du Haut Ghana oriental, au nord du pays.

http://www.farmradio.org/fr/radio-resource-packs/102-lelevage-des-pintades/travailler-dur-na-jamais-tue-personne-reduire-la-mortalite-chez-les-pintades-pour-reussir-et-ameliorer-les-revenus-2/